Louis Boyard : Je démonte point par point 100% de son discours anti-Hanouna ridicule…

Le partage c'est l'amour !
Temps de lecture : 12 minutes

Louis Boyard : le poil le moins vaillant de la brosse à chiottes floquée LFI se ridiculise encore une fois…

Quand Louis Boyard transforme l’université en ring contre Hanouna : le grand cirque de Montpellier

Hier, à l’Université Paul Valéry de Montpellier, le décor était planté pour une scène digne d’un mauvais téléfilm.
Louis Boyard, député LFI au verbe aussi tranchant que ses costumes mal taillés, a décidé de faire de cette vénérable institution un terrain de jeu pour régler ses comptes. Et pas avec n’importe qui : Cyril Hanouna, « le roi du PAF », l’homme qui transforme les clashs en prime time et les insultes en audience.

Oui, mesdames et messieurs, on est bien en 2025, et le réel dépasse encore la fiction.
Humainement parlant : mais comment peut-on dire autant de conneries en 1 minute 35 secondes ?
Il a dû battre un record sans le savoir en fait PtitLouis…😁

Une université ou un plateau de TPMP ?

Imaginez la scène : des amphis pleins d’étudiants qui, entre deux cours sur Baudelaire et les problématiques de la précarité étudiante, se retrouvent à écouter un élu de la République vociférer contre un animateur télé. On pourrait presque entendre les rires enregistrés d’une sitcom en fond sonore.

Louis Boyard, avec son charisme de jeune révolutionnaire qui rêve d’un monde sans Bolloré, a choisi ce lieu symbolique pour taper sur Hanouna.
Pourquoi ? Parce que ce dernier, entre deux blagues douteuses et un plateau de chroniqueurs hystériques, reste une obsession pour l’extrême gauche.

Une sorte de punching-ball cathartique pour tous ceux qui veulent crier « à bas le capital » sans trop se fatiguer.

Hanouna, l’ennemi public numéro un ?

Faut dire que Cyril, avec son empire médiatique en ruines depuis la fermeture de C8, reste un totem à abattre.
Condamné il y a peu à 4000 euros d’amende pour avoir traité Boyard de « tocard » et d’ »abruti » en direct, il incarne pour beaucoup le diable cathodique.
Mais là où ça devient savoureux, c’est que Boyard, au lieu de s’en tenir à ses combats législatifs, préfère jouer les justiciers dans une fac.

Pendant ce temps, les étudiants galèrent toujours pour bouffer autre chose que des pâtes au ketchup, mais bon, les priorités, hein.

Le théâtre de l’absurde à la française

Ce meeting, c’est un peu le symptôme d’une époque où la politique se fait en criant plus fort que l’adversaire, où les facs deviennent des arènes et les animateurs télé des cibles nationales. Boyard contre Hanouna, c’est un western spaghetti sans flingues mais avec beaucoup de sauce.
Et nous, on regarde ça, popcorn à la main, en se demandant si le budget de l’Enseignement supérieur – 26,7 milliards d’euros, quand même – sert vraiment à former des esprits critiques ou à financer des règlements de comptes dignes d’un mauvais reality-show.

Décortiquons cette…heu…ce qu’on peut appeler une vidéo de propagande gauchiasse quoi…

1ere citation débile de Louis Boyard dès le début de la vidéo:

Oh moi Cyril Hanouna j’ai été censuré par l’Arcom. Non tu n’as pas été censuré. L’Arcom n’a pas renouvelé ton canal. Tu peux toujours être diffusé à la télévision, d’ailleurs tu continues… »

Oh là là, Louis Boyard, le petit chevalier en croisade contre le grand méchant Hanouna, qui nous sort sa tirade à l’Université Paul Valéry comme s’il jouait du Molière devant des étudiants en galère.
« J’ai été censuré par l’Arcom », qu’il imite en singeant Cyril, avant de se reprendre avec un « non, t’as pas été censuré, t’as juste perdu ton canal ».
Mais attends une seconde, Louis, t’as pas capté le truc ou t’es juste trop occupé à te pavaner devant ton public ? Quand Hanouna parle de censure, il cause de la TNT, cette autoroute cathodique qui touche 95% des Français en un claquement de doigts, pas de sa petite chaîne YouTube de secours montée à l’arrache après que l’Arcom a dit « game over » à C8 en décembre 2024.

La TNT, c’est le Graal de la télé, une puissance brute, un signal qui rentre dans tous les foyers, même ceux qui captent encore avec une antenne rouillée. Internet ? C’est une béquille, un plan B branlant pour un mec habitué à régner sur le prime time.
Alors, ton « tu continues quand même », c’est mignon, mais c’est comme dire à un chef étoilé qu’il peut toujours cuisiner dans un food truck.

Oui, Hanouna diffuse encore, mais sur le web, il rame avec des serveurs qui peuvent laguer, des abonnés qui zappent parfois difficilement entre les canaux sur leurs Box.
Et le plus important : même s’il a une audience qui explose actuellement, il prend un gros risque de voir son public fondre comme neige au soleil ces prochains mois face à la machine TNT et son côté plus ludique et pratique…Pour le moment le phénomène de mode et de curiosité lui sert…mais est-ce que ça va durer jusqu’à juin ? Une affaire à suivre…

Mais revenons à notre petit Louis et son charisme aussi fondu que le fromage de la marque qui porte son surnom…

L’Arcom n’a pas censuré ses mots, Louis, ils lui ont coupé les ailes, nuance. Et toi, pendant ce temps, tu joues les procureurs dans une fac, à faire semblant de défendre le peuple contre un animateur qui, soyons sérieux, doit bien se marrer en te voyant t’agiter. T’es pas dans le vrai combat, t’es dans le théâtre de boulevard, et ton texte est mal écrit. Allez, remballe ton micro et donne-moi une autre citation, que je continue de démonter ton numéro de clown !

Citation suivante de Louis Boyard :

En plus, si elle n’a pas été renouvelée, c’est parce que tu as été condamné 36 fois, 37 fois si on compte ce que je lui ai mis au tribunal

Louis Boyard, le justicier en herbe, qui se pavane devant une foule d’étudiants en transe, bombant le torse parce que « 37 fois condamné », qu’il claironne, comme si c’était lui qui avait personnellement cloué Hanouna au pilori.
D’abord, Louis, tes chiffres, c’est du vent de kermesse : les condamnations de C8 par l’Arcom, c’est une quinzaine de sanctions notables entre amendes et mises en demeure sur dix ans, pas 36 ou 37 – arrête de compter tes rêves humides comme des victoires judiciaires.

Et ce « je lui ai mis au tribunal », là, on touche le sommet de l’autoglorification : 4000 euros d’amende en février 2025 pour des insultes en direct, c’est ça ton grand coup d’éclat ? Une broutille que Cyril a payée en riant, pendant que toi, tu te prends pour Robin des Bois version TikTok.
Et puis, coco, si C8 a perdu sa fréquence TNT, c’est pas juste une histoire de condamnations.
L’Arcom, ces bureaucrates en costume-cravate, a décidé de reshuffler les cartes en 2024, avec des critères opaques où le pluralisme et les audiences comptent autant que les PV.
Ton « c’est à cause de toi » à Hanouna, c’est du storytelling pour faire rire tes fans, qui t’ovationnent comme des groupies à un concert de Gims.
T’entends leurs rires, leurs claps, et tu gonfles, tu gonfles, jusqu’à croire que t’es le héros qui a terrassé la bête.
Mais la vérité, Louis, c’est que t’es juste un figurant dans cette farce : Hanouna est toujours là, sur le web, pendant que toi, tu joues les matadors devant un amphi à moitié vide.
Descends de scène, t’es pas De Gaulle, t’es juste le castor le moins utile au barrage que fabrique la LFI contre la démocratie en France.
Allez, suivante, qu’on continue de démonter ton cirque !

3e Citation de Louis Boyard :

Mais si Hanouna veut apprendre ce que c’est la censure : la censure, c’est ce qu’ils ont fait à Guillaume Meurice et à toute son émission qui faisait monter tous les scores sur le service public, et ils les ont censurés parce qu’ils faisaient peur au pouvoir.

Oh, mais écoutez-moi ce professeur Boyard qui donne des leçons de censure depuis son pupitre, comme s’il avait décroché un doctorat en martyrisation médiatique ! « Si Hanouna veut apprendre ce que c’est la censure », qu’il lance, la bouche en cœur, avant de nous sortir l’histoire larmoyante de Guillaume Meurice, le chroniqueur rigolo de France Inter, viré comme un malpropre avec son émission Le Grand Dimanche Soir

Sauf que, Louis, ton conte de fées gauchiste, il tient pas la route une seconde. La censure, la vraie, c’est quand on te bâillonne, qu’on te fait taire par la force ou la loi. Meurice ? Il a été dégagé en 2024 par Radio France, pas par un décret du pouvoir, mais par une direction frileuse qui voulait calmer les polémiques après ses vannes sur Israël et ses saillies anti-Macron.
C’était pas la peur du « pouvoir », c’était la peur des plaintes et des sponsors qui se barrent.
Et puis, « tous les scores qui montaient », tu nous prends pour des pigeons ?
L’émission de Meurice faisait du bruit, oui, mais France Inter tournait autour de 10% d’audience cumulée à l’époque, pas de quoi faire trembler l’Élysée dans ses bottes.
Hanouna, lui, a perdu la TNT, un flux qui touche 20 millions de foyers d’un coup, pas une case radio du dimanche soir.
Comparer les deux, c’est comme dire qu’un feu de broussailles, c’est pire qu’un incendie de forêt.
Meurice n’a pas été censuré, il a été licencié – nuance, petit génie – et il continue de causer sur scène et sur le web, comme Hanouna, d’ailleurs.

Alors, ton sermon sur la censure, Louis, garde-le pour tes fans qui boivent tes paroles comme du mauvais vin.
T’es pas là pour éclairer, t’es là pour faire du bruit, et ça, c’est pas du courage, c’est du marketing.

4e Citation de Louis Boyard :

La censure, c’est ce qu’ils ont fait à Aphatie, quelqu’un que je n’aime pas. Mais Aphatie qui a été mis en retrait de RTL parce qu’il disait la vérité sur le crime contre l’humanité qui a été fait par la France pendant la colonisation en Algérie. Et ils l’ont mis en retrait parce qu’il faisait peur au pouvoir.

Alors, Aphatie, le chroniqueur qu’on adore détester, serait victime de la censure, selon notre jeune tribun en costard mal coupé.
« Mis en retrait de RTL parce qu’il disait la vérité », qu’il braille, comme si on était dans un film de cape et d’épée où le héros se fait bâillonner par le méchant roi.
Sauf que, Louis, ton scénario, il tient pas la route, et ça sent le réchauffé de tes discours populistes à deux balles.
D’abord, Aphatie n’a pas été « censuré ». RTL, ce temple de la bourgeoisie médiatique, l’a mis en retrait quelques jours le 5 mars 2025, après sa sortie sur la colonisation française en Algérie – « des centaines d’Oradour-sur-Glane », qu’il a dit, en comparant ça aux crimes nazis.

Polémique, oui, mais censure ? Faut pas pousser.
Il a été écarté une semaine, pas viré, pas bâillonné, pas envoyé au goulag.
Il revient dès le 12 mars, frais comme un gardon, pendant que toi, tu fais semblant de pleurer sur son sort pour te donner un air rebelle.
La « vérité » sur les crimes coloniaux ? OK, les enfumades de Bugeaud, les massacres de Sétif, c’est réel, documenté, personne ne le nie dans les cercles sérieux.
Mais qualifier ça de « crime contre l’humanité » en direct sur RTL, c’est pas une vérité absolue, c’est une interprétation juridique qui divise – Macron l’a dit en 2017, et ça fait encore débat aujourd’hui.

Et puis, « il faisait peur au pouvoir » ? Là, Louis, t’es dans le délire total.
Quel pouvoir ? Macron, qui a déjà reconnu les exactions coloniales ?
L’Arcom, qui enquête mollement sur la séquence ? Ou RTL, qui protège juste son image face aux auditeurs choqués et aux signalements ?
Aphatie n’est pas un révolutionnaire qui menace l’Élysée, c’est un éditorialiste qui fait son job : balancer des punchlines pour faire réagir.
Toi, tu vois de la censure là où y’a juste une direction frileuse qui temporise. Ton grand discours, c’est du vent pour exciter ton public, qui t’applaudit pendant que tu joues les martyrs par procuration.

Allez, remets tes lunettes, petit, et continuons de démonter ton numéro de saltimbanque !

5e Citation de Louis Boyard

Je peux aussi vous donner l’exemple de Merwane Benlazar…qui lui aussi a été retiré parce qu’il avait une barbe et un bonnet. Même ça, ça fait peur au pouvoir.

Et voilà le clou du spectacle, mesdames et messieurs, Louis Boyard qui nous sort sa dernière carte avec l’élégance d’un comédien de troisième zone qui lit son texte parce qu’il a oublié ses lignes ! « Merwane Benlazar », qu’il ânonne, les yeux rivés sur son antisèche, comme un élève qui récite une leçon mal apprise devant la classe. Déjà, rien que ça, c’est à se taper les cuisses : le grand défenseur des opprimés qui doit checker ses notes pour nommer son martyr du jour. T’es pas crédible une seconde, Louis, t’as l’air d’un stagiaire qui improvise un discours à la photocopieuse.

Mais passons au fond, parce que là, on touche le pompon de l’absurde. « Retiré parce qu’il avait une barbe et un bonnet », qu’il nous serine, comme si Merwane Benlazar était un hipster barbu qu’on aurait jeté dehors pour crime de look.
Sérieux, Louis ? T’as vu l’histoire ou t’as juste lu trois tweets avant de monter sur scène ?
Benlazar, il a été viré de C à vous en février 2025, pas pour sa barbe ou son bonnet – ça, c’est le délire de tes copains complotistes – mais parce que des vieux posts sur X, où il balançait des vannes limites sur l’islamisme et la société, ont refait surface.
Rachida Dati herself a mis son grain de sel, disant que ses propos étaient « scandaleux ».
C’était une décision de France 5, pas un complot de l’Élysée qui tremble devant un couvre-chef.
Et tiens, en passant, ton amalgame foireux – barbe plus bonnet égale censure –, ça frôle presque le racisme, coco.
Sous-entendre qu’un Arabe avec une barbe et un bonnet terrorise les Français, c’est toi qui projettes cette image stéréotypée, pas « le pouvoir ».

En criant au racisme, tu te montres plus raciste qu’eux, à voir des persécutions dans un look au lieu des faits. »Ça fait peur au pouvoir », qu’il conclut, la voix gonflée d’une indignation mal jouée.
Quel pouvoir, Louis ? Macron, qui s’en fout royalement d’un humoriste de seconde zone ?
Ou les patrons de la télé, qui ont juste voulu éviter un bad buzz ?
T’inventes une persécution là où y’a qu’une polémique gonflée par des réseaux sociaux en surchauffe.
Benlazar, il est pas censuré, il est toujours là, à faire ses blagues ailleurs, pendant que toi, tu te sers de son nom – mal prononcé, en plus – pour te faire mousser devant un amphi.
T’es pas un porte-parole des opprimés, t’es un opportuniste qui lit mal ses fiches.

Conclusion de Louis Boyard et sa petite conf’entre amis inaudible

Alors le Cyril Hanouna qui dit ‘j’ai été censuré’, t’as pas été censuré ! T’as fait n’importe quoi ! T’as violé la loi et la loi s’est appliquée à toi. Tu es le toutou de ton milliardaire. Tu souffles dans les fesses d’un chien et tu lèches les bottes de ton patron. C’est tout ce que tu es capable de faire, tu fais pas peur au pouvoir, t’es pas censuré ! Voilà, ça, ça a le mérite d’être dit.

Et voilà, mesdames et messieurs, le rideau tombe sur le grand Louis Boyard, qui conclut son cirque à Montpellier avec la grâce d’un camelot qui vendrait des casseroles percées ! « T’as pas été censuré », qu’il hurle à Hanouna, comme un procureur en herbe qui croit avoir décroché le prix Nobel de la justice.

« T’as violé la loi et la loi s’est appliquée », qu’il ajoute, fier comme un coq sur son perchoir. Sauf que, Louis, ton sermon, il sent la paille et le faisan.
Oui, C8 a pris des amendes – 3,5 millions en 2017 pour une blague douteuse, 4000 euros en 2022 pour tes insultes en direct –, mais la perte de la TNT en 2024, c’est pas juste « la loi », c’est une décision stratégique de l’Arcom, un ménage dans les fréquences où Hanouna a été un bouc émissaire commode.
Censuré, peut-être pas au sens strict, mais dégagé d’un flux qui touche 20 millions de foyers, ça pèse plus que tes petits PV de quartier.

Et puis, arrive le moment où tu te vautres dans ta propre soupe, petit génie. « Le toutou de ton milliardaire », qu’il balance à Hanouna, visant Bolloré avec des images scatologiques qui feraient rougir un collégien.
« Tu souffles dans les fesses d’un chien et tu lèches les bottes de ton patron », qu’il crache, la bave aux lèvres.
Mais attends, Louis, rewind une seconde : qui a touché les billets de ce même Bolloré quand il jouait les chroniqueurs à TPMP en 2022 ?

Toi, oui, toi, le révolutionnaire en costard qui a encaissé les chèques avant de mordre la main qui te nourrissait.
T’es pas en position de donner des leçons, coco, t’es juste un ingrat qui crache dans l’assiette où il a mangé.
Hanouna lèche des bottes ? Peut-être, mais toi, t’as léché le portefeuille avant de jouer les vertueux.

« Tu fais pas peur au pouvoir », qu’il assène en clap de fin, comme s’il fermait un grand livre de vérité.
Mais le pouvoir, Louis, il s’en tape de toi aussi : t’es là, à brailler dans une fac, libre comme l’air, pendant que Hanouna rebondit sur le web. « Ça a le mérite d’être dit », qu’il conclut, bombant le torse.
Non, ça a le mérite d’être risible : un ex-toutou de Bolloré qui accuse un autre d’en être un, un député qui transforme un règlement de comptes perso en croisade populaire, un loser qui n’a pas réussi à briguer le poste de maire qu’il convoitait à Villeneuve-Saint-Georges en 2025 et qui, maintenant, n’a rien d’autre à faire. Lui et son parti, LFI, incapables de parler vraie politique pour sauver le pays, en sont réduits à faire de la propagande anti-Hanouna, voire de la diffamation, juste pour qu’il se sente utile aux yeux de ses pères Mélenchon et cie.

Ton final, c’est pas une victoire, c’est une pirouette d’hypocrite qui s’ignore.
Rideau, Louis, et rends l’argent pendant que t’y es, parce qu’annoncer dans les médias que les 4000 euros que tu vas encaisser vont repartir chez les « victimes camerounaises de Bolloré »…y’a pas grand monde à part les étudiants lobotomisés par la gauche qui y croient…
Ton final, c’est pas une victoire, c’est une pirouette d’hypocrite qui s’ignore.

Rideau, Louis, et rends l’argent pendant que t’y es !

Cyril Hanouna pourrait-il porter plainte contre Louis Boyard, et gagner ?

Alors, est-ce que Hanouna pourrait traîner Boyard en justice pour ce speech ?
Oui, carrément.
Les insultes comme « tu souffles dans les fesses d’un chien » et « tu lèches les bottes de ton patron », c’est du niveau caniveau, et en droit français, ça peut tomber sous le coup de l’injure publique (article 33 de la loi de 1881 sur la presse).
Pas besoin de prouver un préjudice précis, juste que c’est une attaque personnelle et humiliante.
Ajoute à ça « t’as violé la loi », qui flirte avec la diffamation (article 29) en insinuant des faits précis sans preuves solides – la perte de la TNT n’est pas une « violation » condamnable par un tribunal, c’est une sanction administrative.

Chances de gagner ? Élevées, surtout si ses avocats jouent sur la répétition des attaques et le contexte public du meeting.
Boyard pourrait invoquer la liberté d’expression, mais les juges détestent les dérapages trop vulgaires – et là, il a plongé tête la première.
Verdict probable : une petite amende pour Louis, histoire de lui rappeler que cracher dans la soupe, ça coûte un minimum.
Tiens…et si ironie du sort Hanouna portait plainte, gagnait 4000 euros de dommage et intérêt…ça serai la cerise sur le gâteau et un terrible retour de manivelle pour le pauvre Louis…

Et après ?

Alors, que retenir de cette farce ? Que Louis Boyard sait faire du bruit, que Cyril Hanouna reste une rente symbolique pour ses ennemis, et que l’Université Paul Valéry aura au moins eu son quart d’heure de gloire. Pendant ce temps, la France continue de tourner, entre crises et éclats de rire.
Et nous, on se demande : à quand un débat en direct entre les deux, avec un ring, des gants, et Vincent Bolloré en arbitre ? Ça, ce serait du spectacle.

Abonnez-vous pour ne rater aucun article du blog !

Billets en relation

Laisser un commentaire